Notre conférencier s'est penché sur la question et vous présentera l'interaction entre les facteurs de risque et de protection qui peut conduire à la vulnérabilité ou à la résilience. Vous avez le pouvoir d'actualiser votre potentiel !

Ce programme de pointe, unique et adapté, est offert exclusivement aux intervenants œuvrant auprès de personnes atteintes de schizophrénie ou de psychoses. Inspirée des approches humaniste, cognitivo-comportementale (TCC) et motivationnelle, la formation permettra aux participants d’approfondir leurs connaissances et d’acquérir des stratégies d’intervention qui contribueront à réduire les symptômes, la détresse, les rechutes ainsi que les dysfonctionnements sociaux et cognitifs chez la personne vivant avec la maladie.

​On parle de schizophrénie résistante lorsque la personne vivant avec la schizophrénie ne répond pas ou insuffisamment au traitement médicamenteux malgré l’utilisation successive de deux antipsychotiques différents. La personne montrant une schizophrénie résistante présente différents symptômes, dont une détérioration du comportement et de ses capacités fonctionnelles (retrait social, manque d’énergie et de volonté, hygiène, échecs scolaires ou professionnels).

Dr Jean-Pierre Rodriguez, psychiatre à l'Hôpital du Sacré-Coeur à Montréal, abordera pour vous les symptômes de la schizophrénie résistante, comment les dépister et les traiter, les facteurs de risques, ainsi que les facteurs limitant la réponse aux traitements. 

Notre conférencier s'est penché sur la question et vous présentera l'interaction entre les facteurs de risque et de protection qui peut conduire à la vulnérabilité ou à la résilience. Vous avez le pouvoir d'actualiser votre potentiel !

Ce programme de pointe, unique et adapté, est offert exclusivement aux intervenants œuvrant auprès de personnes atteintes de schizophrénie ou de psychoses. Inspirée des approches humaniste, cognitivo-comportementale (TCC) et motivationnelle, la formation permettra aux participants d’approfondir leurs connaissances et d’acquérir des stratégies d’intervention qui contribueront à réduire les symptômes, la détresse, les rechutes ainsi que les dysfonctionnements sociaux et cognitifs chez la personne vivant avec la maladie.