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La schizophrénie n’est plus cette maladie incapacitante et débilitante qu’il faut cacher. Cette façon de penser relève d’une légende urbaine que certains médias ne cessent d’alimenter. La schizophrénie est aujourd’hui considérée comme une maladie complexe qu’on peut traiter. Plusieurs personnes atteintes vivent dans la communauté et peuvent bénéficier d’une vie active et satisfaisante. C’est surtout la stigmatisation dont sont victimes ces personnes qui fait obstacle à leur rétablissement et les empêche d’endosser un rôle d’étudiant ou de travailleur.
Au niveau de l’emploi, les personnes atteintes d’un trouble sévère de santé mentale sont nettement défavorisées, ce qui représente l’un des effets les plus néfastes de la stigmatisation. À peine 15 à 20 % de ces personnes occuperaient actuellement un emploi, bien que plus de 60 % seraient en mesure d’être employées.
Travailler est une source de fierté et de valorisation pour les personnes atteintes de schizophrénie, aussi se montrent-elles souvent des employées fiables, motivées et compétentes.
Longtemps on a cru que les personnes atteintes de schizophrénie ne pouvaient pas travailler et encore moins conserver un emploi à long terme. Pourtant, des données scientifiques montrent que le diagnostic n’est pas une variable significative permettant de prédire ce qu’il en est de l’insertion et du maintien en emploi.
La majorité des personnes présentant un trouble de santé mentale sévère n’auront pas besoin d’accommodations ou de moyens d’adaptation particuliers en milieu de travail. Elles auront cependant besoin d’être reconnues pour leurs habiletés, leurs compétences, leurs qualités plutôt que d’être différenciées en raison de leur maladie et de leurs déficits.
Losque présents, des incapacités en lien avec une maladie mentale doivent être considérées au même titre que toute autre forme de handicaps. Dans le but de pallier une limite ou un déficit qui interfère dans le rendement de la personne, l'employeur peut proposer des adaptations ou des accommodations. Ces mesures ne sont pas des privilèges, ni des passe-droits.
Une personne présentant un problème de santé mentale sévère n’a pas toujours des déficits ou des incapacités qui nécessitent des accommodations. Les accommodations sont parfois permanentes, mais très souvent ponctuelles ou temporaires bien qu’elles favorisent directement le maintien en emploi. Celles-ci sont nécessaires dans les cas suivants :
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Société québécoise de la schizophrénie
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